Quand j'habitais à Berlin, c'est à dire jusqu'en juin 2020 et depuis octobre 2008, je passais tous les jours devant.
Il faudrait sans doute que je raconte le long périple depuis que j'ai quitté l'Allemagne mais pas ce soir. Je travaille cette nuit et le lundi je dors presque toute la journée.
Imaginez seulement deux adultes plus très frais, en train, avec deux chiens, un chat et Georges le rat discrètement planqué dans sa cage. Leipzig, Mannheim, Paris, une halte de cinq mois à Aurillac, La Souterraine, Vierzon, Saint-Nazaire. Mais maintenant ça y est, je suis posé.