vendredi 9 avril 2021

Cœlacanthe

Ce n’est ni une grande nouvelle, ni un scoop, mais j'en parle quand même, hein.

Cœlacanthe est le titre du roman que j'ai écrit. Les éditeurs publiant peu de nouveautés dans le contexte actuel, j'ai pris la décision d'autoéditer la chose sous forme d'un ebook chez Amazon. Pas la peine de me dire que c'est mal, car un, je le sais déjà et, deux, je ne suis pas réellement convaincu que ce le soit.

Pour la lire la chose il disposer faudra disposer d'une liseuse Kindle ou télécharger l'appli gratuite.

La chose coûte la bagatelle de 6 euros. Si vous n'avez pas d'argent à dépenser, vous pouvez également l'emprunter - gratuitement si j'ai bien compris, et la lire sur ordinateur ou tablette. Pour ce faire,  vous pouvez par exemple cliquer sur le lien suivant  https://miniurl.be/r-3ntu

Si vous trouvez la couverture un classieuse, j'en suis un rien flatté. Elle reflète un seul aspect du roman mais c'est déjà bien, non ?



 


 

 

 

 

 


dimanche 28 mars 2021

Château d'eau pour un dimanche.


Une vue du château d'eau de Schöneberg, celui de la station de S-Bahn Priesterweg.

Quand j'habitais à Berlin, c'est à dire jusqu'en juin 2020 et depuis octobre 2008, je passais tous les jours devant.

Il faudrait sans doute que je raconte le long périple depuis que j'ai quitté l'Allemagne mais pas ce soir. Je travaille cette nuit et le lundi je dors presque toute la journée.

Imaginez seulement deux adultes plus très frais, en train, avec deux chiens, un chat et Georges le rat discrètement planqué dans sa cage. Leipzig, Mannheim, Paris, une halte de cinq mois à Aurillac, La Souterraine, Vierzon, Saint-Nazaire. Mais maintenant ça y est, je suis posé. 


samedi 27 mars 2021

Samedi 27 mars


 Je me rappelle, enfin je crois, que l'heure d'été à été instaurée en 1976. L'année où j'avais quatorze ans et une cabane dans un arbre.

Il est 15 heures trente, je me réveille doucement. J'ai jeté un coup d'œil à mes semis. Il semblerait que je sois parti pour avoir dans les trois douzaines de tounesols géants. Les premières capucines montrent le bout de leur nez.

Je n'ai pas lu  le Modiano jusqu'au bout, Rue des boutiques obscures. C'est écrit avec l'ongle du petit doigt et même une camomile  très pâle ferait plus d'effet. En fait c'est la deuxième infusion insignifiante que je lis de ce mec.

J'ai également abandonné sans hésitation la lecture de l'Année des Méduses. Ça me donnait des remontées acides et je n'arrêtais pas de repenser à l'actrice qui exhibe ses nichons de petite pute adolescente dans le film.

J'aurai sans doute fini le Vicki Baum d'ici jeudi. Après, je pense que serai assez d'humeur à retourner du côté de Henning Mankell. La Cinquième Femme m'a tellement plu que j'ai envie de lire tous les Wallander.